Il était déjà pas mal saoul, moi j'étais complètement perturbée, bouleversée. C'était un flot d'émotions d'un seul coup. Une grosse vague. je le suppliais presque de rester prés de moi. J'étais perdue. Comme une môme. Maintenant que tu es prés de moi, ne me lâche pas, C'est ça que ça voulait dire. Je ne veux pas perdre une miette de toi. Tes sourires, tes yeux, tes mouvements. La moindre parcelle de Toi. Il riait, presque. Puis le flou dans mes yeux, un peu de panique. Mes mains qui veulent s'approcher de toi, juste pour vérifier que tu es bien là.
Je t'ai touché, les mains, le dos, ta joue.
Tu es bien là. Je suis sereine.
Maintenant que tu as toute ta vie devant toi.
Ces amours infinis. Et ces Ailes que tu gardes.
les.autres.choses
Aux temps qui ne s'accordent pas.
Mardi 23 février 2010 à 23:14
Commentaires
Par Satine le Vendredi 26 février 2010 à 14:31
oh mon dieu c'est beau ce que tu nous dis là. je le ressens cet article, je le VIS!
Par Samedi 27 février 2010 à 18:06
le Et ces Ailes que tu gardes.
Je vais, je vais
disons
je survis?
Je me plains, quelle audace.
Je vais, je vais
disons
je survis?
Je me plains, quelle audace.
Par Lundi 1er mars 2010 à 22:18
le J'aime bien cet article là.
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