Il y avait longtemps, que je n'avais plus écouter le vent dans les branches. Je n'ai même plus peur. Ou peut être un tout petit peu. L'air est chaud, les arbres immenses. Je souris malgres moi de ces trois jours entre parenthèses. Allongée,c'est comme une multitude de petit flocon blanc qui tombe du ciel. Il y a à peine les cris des enfants qui rient, des adultes qui appellent un peu plus fort.Je regarde le soleil, les feuilles juste au dessous. Je me retiens de respirer. Je pense à toi, chère D'Ailes.
Le soleil s'est couché. La nuit est noire. A peine les lueurs de la ville au loin. Je grelotte encore mouillée de mon bain dans une grande serviette. Puis, dans l'herbe fraichement coupée, juste à mes pieds, un par terre de toute petites lueurs. Plus je regarde et plus le nombre augmente. Il fait bon, je suis apaisée. Je pense à toi, chère D'Ailes.
les.autres.choses
Aux temps qui ne s'accordent pas.
Lundi 24 mai 2010 à 22:47
Commentaires
Par Vendredi 28 mai 2010 à 13:46
le (Tu rigoles! j'aime beaucoup savoir que mes mots ne volent pas au vent, qu'ils sont appréciés, même si je suis moi-même une lectrice muette (ben oui tu crois quoi, moi aussi je te lis!) =D)
Par Mardi 1er juin 2010 à 0:21
le Cet article est une merveille. Merde.
<3
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la classe.
http://www.youtube.com/watch?v=EkflmyBEXvI
je t'embrasse