On a commencé par entendre des bruits au premier étage de la maison. Des disputes, un peu violentes.Du fracas. Olivier à dit C'est étrange, ils rigolent ou pas. Je pensais sincèrement que oui. On a continué à discuter, des cours, de sa thèse. Et puis d'un seul coup ils sont sortis du bâtiment. La dame hurlait ne me massacre pas. L'homme l'a plaqué contre le mur, lui a donné une gifle, violente. Le commissariat elle criait, je vais porter plainte. On ne savais pas quoi faire. On étais, une quinzaine, peut être, à la terrasse du café.On s'est tous regardés. Ils criaient de plus en plus fort. Il ne la lâchait pas. Puis un homme s'est interposé. L'autre lui à répondu de se mêler de ses affaires, que c'était sa femme. Il voulait le frapper lui aussi. Puis un tas d'homme sont sortis des bâtiments aux alentours. Ils lui ont dit se se calmer, de la laisser s'en aller. Mais elle même revenait pour l'insulter. Et ça reprenait. Olivier à fit mine de se lever, je lui ai dis assis toi, il y a des tas de gens, autour, qui le connaisse, en plus. Le monsieur ne s'est pas calmé, mais les autres ont réussis à laisser partir la dame, plus loin. Je ne sais pas si c'était une bonne chose, de dire à Olivier de se rassoir, il avait raison, son geste, c'était le bon. Mais je me suis dis, qu'il y avait assez de monde comme ça, autour, qu'il ne fallait pas compliquer les choses, en qu'en plus, ils parlaient une langue qu'on ne comprenaient pas, lui et moi. Sauf la dame qui elle criait qu'elle allait porter plainte. Des qu' ils sont partis, beaucoup plus loin, vers l'entrée du métro, on a pris nos affaires, on ne pouvais pas rester là, comme si rien nous avait choqué. Reprendre notre discussion, recommencer à rire. Alors on a écourté nos retrouvailles. Au café, un peu plus loin, une dame nous arrête et nous demande si ça va. Elle sourit, et dis qu'elle nous souhaite tout sauf ça, à tout les deux, et aussi une vie heureuse. On la remercie et on pars en rigolant, ils n'arrêteront donc jamais, les gens, de nous penser amoureux.
les.autres.choses
Aux temps qui ne s'accordent pas.
Lundi 23 novembre 2009 à 18:44
Commentaires
Par joris le Lundi 23 novembre 2009 à 22:24
Tiens, j'ai une la même avec un gosse et un ceinturon dans un bar brésilien...
Par Lundi 23 novembre 2009 à 22:53
le Ouais, avec un coté glauque plus, genre plein de gosses là bas vivent (par décision de leur part) dans la rue et sniffe à longueur de journée de la colle... Ils pillent souvent des commerces, volent des trucs, donc pas tres aimés dans le coin. Celui la avait piqué un paquet de clope sur une table...
Par Lundi 23 novembre 2009 à 23:47
le Peu pas y'avoir que des bons cotés! J'y suis, me reste quelques trucs à faire encore pour rendre un peu plus mieux mon chez moi, je vais m'imposer un régime à base de cassoulet confits et foie gras pour m'intégrer au mieux.
Par Mercredi 25 novembre 2009 à 16:03
le ah, cette phrase: "On la remercie et on pars en rigolant, ils n'arrêteront donc jamais, les gens, de nous penser amoureux."
Je la relis et je la relis et je la relis et je la relis. J'sais pas j'trouve qu'elle a du charme.
Je la relis et je la relis et je la relis et je la relis. J'sais pas j'trouve qu'elle a du charme.
Par Dimanche 6 décembre 2009 à 13:25
le :)
(j'aimerai bien que Joris arrête de squatter mes favoris ça me les brise)
(j'aimerai bien que Joris arrête de squatter mes favoris ça me les brise)
Par Samedi 5 septembre 2015 à 19:03
le Avez vous un lien pour que je puisse télécharger l'article en PDF ?
Par Lundi 7 septembre 2015 à 6:50
le Excellent article je vous soutient .
Ajouter un commentaire
La discussion continue ailleurs...
Pour faire un rétrolien sur cet article :
http://les.autres.choses.cowblog.fr/trackback/2935463