les.autres.choses

Aux temps qui ne s'accordent pas.

Dimanche 31 janvier 2010 à 17:37

En réalité, quand on en veux, vraiment, à quelqu'un, on a du mal à oublier. On peux toujours jouer à faire semblant, sourire hypocritement, dire "mais non, mais si". Rien n'y fait. Et c'est pas faute d'avoir essayé, de ne pas y penser, de laisser ça au loin, quand on reviens, toute la rancœur est de nouveau ancrée. Comme si, moi, je n'avais pas mis un réponse à quelque chose, un point final rhétorique. J'avoue ne même pas savoir qu'elle est la question. Le pire, c'est que je fais tout, pour prendre sur moi, pour faire semblant. Mais rien n'y fais, ça sort. Inlassablement.  Le pire, dans tout ça, et c'est peut être la le problème, c'est que tu es quelqu'un de bien, vraiment. Je n'ai pas à t'en vouloir, en dehors de cette journée là, il n'y a rien. Ton choix, était  honnête et sincère. C'est peut être ça, je ne peux pas me mettre en colère contre quelque chose, alors ça stagne et ça bout.

J'espère sincèrement, qu'en vrai, ça sera mieux. Et peut être, ce sera mon point final, mais au moins, je ne t'en voudrais plus.

Dimanche 24 janvier 2010 à 0:43

Django aurait eu 100 ans aujourd'hui, et moi, j'ai partiel d'histoire de l'Art mardi matin.
Les Russes ça boit beaucoup, parlent fort, et même avec le vin blanc, on comprends pas.
Le titre de cet article est seulement le titre du livre en pop-up que j'ai fait,
J'ai de grosse tendance au sophisme,
Un autoportrait de 1m50x1m50, c'est flippant,
L'avantage des russes, c'est qu'ils connaissent des galeries en Russie,
Il me tarde le mois de février,
et puis.

Mardi 19 janvier 2010 à 22:02

Il y avait ce type là, c'était quand même fou. Je l'ai remarqué de suite quand il est monté dans la rame. Bien sur lui, chic,  mais ses revers de pantalons et ses manches usées ne mentaient pas. Il avait l'air plus que soucieux, il avait presque l'air hébété. J'ai senti le poids lourd qu'il trimballait. Et puis il s'est assis en face de moi, sur le dernier siège du bout de la rame. Il a baissé les yeux puis il a sorti un ribik's cube de sa poche gauche, très lentement. J'ai observé, curieuse. Il était déjà finit. Alors sans regarder, il a défait le tout. Puis il a tout recommencé, sans regarder une seule fois ses mains. Le tout quatre fois! Quatre fois en l'espace de Esquirol-Mirail Université.

Et puis je suis sortie du métro, les syndicats étudiants m'ont bombardés de prospectus, et je l'ai oublié.

Mardi 5 janvier 2010 à 20:14



"Nous avons l'art pour ne pas périr par la vérité"

 
Maxime.
Comment un type, des kilomètres plus loin,
vous remet dans le chemin.
Merci.


Lundi 4 janvier 2010 à 15:51

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